Le12e Festival du film coréen du Canada, qui se tient à Montréal, se terminera le 7 juin 2025.
"Hole", un court métrage de 2023 de Hyein Hwang, a été projeté le 24 mai 2025, mais il devrait certainement et à juste titre faire son apparition dans le circuit des festivals.
Il s'agit ici d'une horreur pure et simple, déclenchée par le suspense et la curiosité.
Jeong-mi est une jeune agente de protection de l'enfance à Séoul, sous la tutelle de son patron qui la laisse terminer les tâches de la journée pour assister à la fête d'anniversaire de mariage de ce dernier.
Les enfants mentent beaucoup, alors ne croyez pas tout ce qu'ils disent...
Jeong-mi visite l'appartement où résident deux enfants, dans lequel se cache une curieuse bouche d'égouts...
Un film qui fait froid dans le dos !
RKS 2025 Cote du film 94/100.
"Variation" peut être interprété comme un instantané de 24 heures d'un couple qui se retrouve après avoir mis fin à leur relation.
S'écartant de la voie de l'interprétation inoffensive, je pense que "Variation" aborde le modèle toujours changeant des relations romantiques humaines. Comme les tatouages qui changent continuellement dans le dos de l'homme, la relation est en constante évolution.
Les références répétées à un voyage en avion accentuent le fait que la relation est rarement statique, mais qu'elle évolue comme dans un voyage.
La femme déclare qu'elle veut que l'homme agisse comme il l'a fait lors de leur première rencontre.
"Variation" est un court métrage réalisé par Ji-hoon Park et projeté au12e Festival du film coréen du Canada à Montréal du 22 mai au 7 juin 2025.
"Variation" peut être interprété comme un instantané de 24 heures d'un couple qui se retrouve après avoir mis fin à leur relation.
S'écartant de la voie de l'interprétation inoffensive, je pense que "Variation" aborde le modèle toujours changeant des relations romantiques humaines. Comme les tatouages qui changent continuellement dans le dos de l'homme, la relation est en constante évolution.
Les références répétées à un voyage en avion accentuent le fait que la relation est rarement statique, mais qu'elle évolue comme dans un voyage.
La femme déclare qu'elle veut que l'homme agisse comme il l'a fait lors de leur première rencontre.
Christina (Tina), également connue sous le nom de Big Daddy Queen Power, auteur-compositeur-interprète et multi-instrumentiste coréenne-italienne, était l'hôte de la soirée. Vous pouvez découvrir son travail ici. Tout le monde a été ravi de rencontrer et d'échanger avec nous.
Le cinéma est le miroir à travers lequel la société se regarde, et le 12e Festival du film coréen du Canada (FFCC) est un kaléidoscope - une expérience multidimensionnelle, organisée de manière exquise, qui réfracte les expressions vives, vulnérables et visionnaires de la Corée, de l'Asie et d'ailleurs. Se déroulant du 22 mai au 28 juin 2025, dans plusieurs lieux réputés de Tiohtiá:ke/Montréal, l'édition de cette année n'est pas seulement un festival, c'est un manifeste. Une lettre d'amour à l'art, à la technologie, à la communion interculturelle et aux dimensions oniriques où ils s'entremêlent.
Le thème de cette année, qui s'inscrit dans la continuité du motif de 2024, "Arts & Technologies : Sommeil, Rêve, Corps", nous invite élégamment à nous interroger sur la relation entre nos paysages intérieurs et la toile cinématographique. Avec des événements répartis entre le Cinéma Moderne, le Cinéma du Musée, le Centre Création Danse Nyata Nyata, le Goethe-Institut Montréal et l'esplanade extérieure ensoleillée du Bassin Peel, le 12e KFFC n'est pas seulement une occasion de voir des films, c'est aussi un lieu de convergence entre la culture, l'esprit du temps et la philosophie.
La soirée d'ouverture du Cinéma du Musée s'est déroulée avec une sophistication et un objectif tranquilles. Des invités de la communauté créative de Montréal se sont réunis autour de plats coréens soigneusement préparés par DANO FOODS, échangeant des idées, des impressions et de l'impatience.
Mais au-delà de l'atmosphère conviviale, quelque chose de plus significatif se dessine. Le cinéma coréen et l'art asiatique n'étaient pas seulement au programme, ils faisaient partie d'un mouvement culturel en pleine expansion. Leur présence reflétait non seulement l'excellence artistique, mais aussi un changement dans l'attention mondiale, capturant l'ethos de cette époque avec des histoires qui résonnent au-delà des frontières.
Les premiers courts métrages de Bong Joon HoIncoherence (1994)- oui, le Bong Joon Ho d'avant Parasite- a refait surface comme un joyau d'archives perdu depuis longtemps. À la fois hilarant et horrifiant, le film dénonce les hypocrisies sociales avec la précision chirurgicale que seul un génie de la réalisation peut rassembler. Il a été suivi par Mer, porte mon rêve (2023)une ode poétique animée aux communautés déplacées, réalisée par le réalisateur Masoud Raouf, qui nous rappelle que les rêves sont sans frontières et que les bateaux sont parfois trop petits pour le poids de l'espoir qu'ils transportent.
Et enfin, Silver Apricot (2024) de Jang Man-min - unlong métrage à combustion lente, exquis sur le plan émotionnel, qui retrace l'effritement douloureux, comique et finalement libérateur des liens familiaux et des attentes sociétales d'une femme. Il s'agit moins d'un film que d'une séance de thérapie déguisée en pastels doux et en coups de pinceau numériques.
Cette année, le KFFC ne se contente pas de projeter des films, il reflète le moment présent. Avec plus de 40 programmes, dont 27 films d'art et d'essai asiatiques, des installations VR, des expositions d'arts médiatiques et des tables rondes interdisciplinaires, le KFFC 2025 se situe audacieusement au confluent de l'innovation artistique et de la diplomatie culturelle.
Comme l'a souligné avec éloquence Jae Wan Lee, consul général de la République de Corée à Montréal, "les films permettent à la Corée et au Canada d'accéder à des pans de l'histoire, de la société et de la culture de chaque nation". Ses mots sont particulièrement poignants pendant l'Année des échanges culturels entre la Corée et le Canada (2024-2025), car ils soulignent la capacité du cinéma à unir, à défier et à transformer.
Le festival de cette année est plus qu'une répétition, c'est une réimagination. Les Rencontres interculturelles, nouvellement introduites le 6 juin, promettent d'être un symposium gratuit et dynamique de conversations, de collaborations et de pollinisations croisées. Pensez à un TED Talk qui rencontre un forum de fans de K-pop avec une pincée de think-tank mondial - oui, c'est aussi cool que ça.
Du 11 au 14 juin, le Goethe-Institut Montréal accueille une exposition d'arts médiatiques qui explore la façon dont la RV et les installations immersives peuvent modifier, ou peut-être réveiller, notre perception de l'incarnation et de la mémoire.
Et puis, il y a KFFC Plein Air - leflirt du festival avec le plein air, une célébration d'une journée entière le 28 juin au Bassin Peel en partenariat avec La Semaine Coréenne - Édition Jeju et Cinéma sous les étoiles. Imaginez : une soirée montréalaise de velours, des étoiles au-dessus, de l'eau à côté, du cinéma coréen sur grand écran et une communauté tout autour. Apportez votre plus belle couverture de pique-nique et votre tenue la plus photogénique.
Toutes les bonnes choses ont une fin, mais pas sans un coup de micro cinématographique. Le programme de clôture du 7 juin au Cinéma Moderne présente deux films qui brouillent les frontières entre mémoire, identité et idéologie avec une sophistication rarement vue en dehors des murs d'un musée.
A Traveler's Needs (2024)de Hong Sang-soo, avec la toujours rayonnante Isabelle Huppert, est une merveille minimaliste sur la dislocation et le désir. Et Paris to Pyongyang (2024) d'Helen Lee est une classe de maître en matière de récit autobiographique - juxtaposant la ferveur intellectuelle française des années 1950 avec les souvenirs délicats, en perte de vitesse, d'une grand-mère coréenne. C'est poignant. C'est politique. C'est de la pure poésie.
Arts Est-Ouest présente la 12e édition du Festival du Film Coréen Canada (FFCC), qui débute le 22 mai et se poursuit jusqu'au 28 juin dans cinq lieux à Montréal : Cinéma du Musée, Cinéma Moderne, Goethe-Institut Montréal, Centre Création Danse Nyata Nyata et Bassin Peel.
Le 12e FFCC présente plus de 40 programmes, dont 27 films d'art asiatique, des expositions de réalité virtuelle, des installations d'arts médiatiques, des festivités interculturelles et des projections en plein air. Le festival s'ouvre le jeudi 22 mai à 18h avec une réception au Cinéma du Musée, suivie d'un programme de projection mettant en vedette le premier court métrage du célèbre réalisateur Bong Joon Ho, Incoherence (1994) et le premier long métrage de Jang Man-min, Silver Apricot (2024), tous deux produits par l'Académie Coréenne des Arts Cinématographiques (KAFA).
Le programme se clôture le 7 juin au Cinéma Moderne en présentant le film A Traveler's Needs (2024) du réalisateur Hong Sangsoo, avec Isabelle Huppert, aux côtés du film de la cinéaste canado-coréenne Helen Lee, Paris to Pyongyang (2024), un captivant essai-documentaire juxtaposant les récits parallèles des intellectuels parisiens des années 1950 et les souvenirs de la grand-mère de la cinéaste sur la Corée.
En plus de l'ouverture et de la clôture du festival, le FFCC propose d'autres projections.
Une sélection d'animations classiques coréennes de 1980 à 2012 sera disponible en streaming gratuit tout au long du festival.
Les films seront disponibles ici.
Cinéma Moderne
La Vitrine des réalisatrices, K-Shorts : 5 Voix principales, présente des œuvres exceptionnelles de cinéastes coréennes, dont la lauréate du Festival de Cannes Kim Bora, réalisatrice de House of Hummingbird, The Recorder Exam et le film Hole de Hwang Hye-in.
5524 rue Saint-Patrick #210, Montréal, QC H4E 1A8
Directors Factory présentera 6 courts métrages réalisés par des cinéastes débutants lors du 514 : Emerging Directors Showcase.
Directors Factory est un espace ouvert et dynamique pour les artistes médiatiques canado-asiatiques à toutes les étapes de leur carrière, où nos histoires vécues se tissent en productions créatives qui fusionnent avec des pratiques de recherche-création, présentant explorations et présentations.
Cinéma Moderne
EstRencontreOuest (ERO) présente des films asiatiques canadiens et internationaux, dont Paris to Pyongyang de Helen Lee (2024) et Mongrels de Jerome Yoo (2024). ERO représente l'intégration du Festival AmérAsia (créé en 1999) au FFCC, poursuivant sa tradition de 25 ans de célébration des arts de la diaspora asiatique.
Bassin Peel
Le FFCC s'associe au MKFCM pour présenter une projection spéciale au Bassin Peel durant le Festival de culture coréenne La Semaine de la Corée - Édition Jeju !
12e FESTIVAL DU FILM CORÉEN CANADA
Artset Technologies : Sommeil, Rêve, Corpsdu22 mai au 28 juin 2025 40 programmes comprenant 3 premières mondiales, la vitrine des réalisatrices, des courts métrages gratuits en ligne, des expositions de réalité virtuelle, des projections en plein air et bien plus encore, se déroulant pendant le Mois du patrimoine asiatique dans plus de lieux que jamais auparavant !
SOIRÉE D'OUVERTURE
jeudi 22 mai 18h
Arts East-West est fier de présenter la 12e édition du Festival du film coréen du Canada (FFCC), qui débute le 22 mai et se poursuit jusqu'au 28 juin dans cinq lieux privilégiés de Tiohtiá/Montréal : Cinéma du Musée, Cinéma Moderne, Goethe-Institut Montréal, Centre Création Danse Nyata Nyata, et Bassin Peel.
Coïncidant avec le mois du patrimoine asiatique, le 12e KFFC propose plus de 40 programmes, dont 27 films d'art et d'essai asiatiques, des expositions de RV, des installations d'arts médiatiques, des festivités interculturelles et des projections en plein air. Le festival s'ouvre le jeudi 22 mai avec une réception au Cinéma du Musée, suivie d'un programme de projections comprenant le premier court métrage de l'éminent réalisateur Bong Joon Ho, Incoherence (1994), et le premier long métrage de Jang Man-min, Silver Apricot (2024), tous deux produits par l'Académie coréenne des arts cinématographiques (Korean Academy of Film Arts - KAFA).
"Nous sommes très enthousiastes quant à la programmation de cette année", a déclaré Annabelle Kang, artiste et écrivain canado-coréenne, et directrice adjointe d'Arts East-West. "Nous avons mis en place de nouvelles initiatives pour le festival cette année. Nous organisons le 6 juin un programme gratuit intitulé Rencontres interculturelles. Nous organisons également une exposition d'arts médiatiques du 11 au 14 juin au Goethe-Institut. Et le 28 juin, il y aura une projection en plein air au Bassin Peel dans le cadre de La Semaine de la Corée - Édition Jeju.
Le programme de clôture du 7 juin au Cinéma Moderne présentera A Traveler's Needs (2024) du célèbre réalisateur Hong Sang soo avec Isabelle Huppert, ainsi que Paris to Pyongyang (2024) de la cinéaste canadienne d'origine coréenne Helen Lee, un essai documentaire captivant qui juxtapose les deux récits d'intellectuels parisiens des années 1950 et les souvenirs de la Corée de la grand-mère de la cinéaste.
Arts East-West est fier de présenter la 12e édition du Festival du film coréen du Canada (FFCC), qui débute le 22 mai et se poursuit jusqu'au 28 juin dans cinq lieux privilégiés de Tiohtiá/Montréal : Cinéma du Musée, Cinéma Moderne, Goethe-Institut Montréal, Centre Création Danse Nyata Nyata, et Bassin Peel.
Coïncidant avec le mois du patrimoine asiatique, le 12e KFFC propose plus de 40 programmes, dont 27 films d'art et d'essai asiatiques, des expositions de RV, des installations d'arts médiatiques, des festivités interculturelles et des projections en plein air. Le festival s'ouvre le jeudi 22 mai avec une réception au Cinéma du Musée, suivie d'un programme de projections comprenant le premier court métrage de l'éminent réalisateur Bong Joon Ho, Incoherence (1994), et le premier long métrage de Jang Man-min, Silver Apricot (2024), tous deux produits par l'Académie coréenne des arts cinématographiques (Korean Academy of Film Arts - KAFA).
"Nous sommes très enthousiastes quant à la programmation de cette année", a déclaré Annabelle Kang, artiste et écrivain canado-coréenne, et directrice adjointe d'Arts East-West. "Nous avons mis en place de nouvelles initiatives pour le festival cette année. Nous organisons le 6 juin un programme gratuit intitulé Rencontres interculturelles. Nous organisons également une exposition d'arts médiatiques du 11 au 14 juin au Goethe-Institut. Et le 28 juin, il y aura une projection en plein air au Bassin Peel dans le cadre de La Semaine de la Corée - Édition Jeju.
Le programme de clôture du 7 juin au Cinéma Moderne présentera A Traveler's Needs (2024) du célèbre réalisateur Hong Sang soo avec Isabelle Huppert, ainsi que Paris to Pyongyang (2024) de la cinéaste canadienne d'origine coréenne Helen Lee, un essai documentaire captivant qui juxtapose les deux récits d'intellectuels parisiens des années 1950 et les souvenirs de la Corée de la grand-mère de la cinéaste.
Arts Est-Ouest présente la 12e édition du Festival du Film Coréen Canada (FFCC), qui débute le 22 mai et se poursuit jusqu'au 28 juin dans cinq lieux prisés de Tiohtià:ke/Montréal : Cinéma du Musée, Cinéma Moderne, Goethe-Institut Montréal, Centre Création Danse Nyata Nyata et Bassin Peel. Coïncidant avec le Mois du patrimoine asiatique, le 12e FFCC présente plus de 40 programmes, dont 27 films d'art asiatiques, des expositions de réalité virtuelle, des installations d'arts médiatiques, des festivités interculturelles et des projections en plein air.
Le Festival du film coréen du Canada lui fait aussi la part belle aux courts métrages, en présentant entre autres dans son programme d'ouverture ce jeudi au Cinéma du Musée le tout premier opus du cinéaste oscarisé et " palmé " Bong Joon-ho, Incoherence. Samedi, le festival propose deux autres programmes de courts : la " Vitrine des réalisatrices, K-Shorts : 5 voix principales " au cinéma Moderne.
40 programmes comprenant 3 premières mondiales, la vitrine des réalisatrices, des courts métrages gratuits en ligne, des expositions de réalité virtuelle, des projections en plein air et bien plus encore, se déroulant pendant le Mois du patrimoine asiatique dans plus de lieux que jamais auparavant !
Arts Est-Ouest présente fièrement la 12e édition du Festival du Film Coréen Canada (FFCC), qui débute le 22 mai et se poursuit jusqu'au 28 juin dans cinq lieux prisés de Tiohtià:ke/Montréal : Cinéma du Musée, Cinéma Moderne, Goethe-Institut Montréal, Centre Création Danse Nyata Nyata et Bassin Peel.
Coïncidant avec le Mois du patrimoine asiatique, le 12e FFCC présente plus de 40 programmes, dont 27 films d'art asiatiques, des expositions de réalité virtuelle, des installations d'arts médiatiques, des festivités interculturelles et des projections en plein air.
Le festival s'ouvre le jeudi 22 mai à 18h avec une réception au Cinéma du Musée, suivie d'un programme de projection mettant en vedette le premier court métrage du célèbre réalisateur Bong Joon Ho, Incoherence (1994) et le premier long métrage de Jang Man-min, Silver Apricot(2024), tous deux produits par l'Académie Coréenne des Arts Cinématographiques (KAFA).
La directrice artistique Mi-Jeong Lee déclare: " Notre thème de deux ans 'Arts et Technologies : Sommeil, Rêve, Corps' culmine cette année avec un programme qui explore l'intersection fascinante des œuvres créatives et des avancées technologiques à travers la lentille du cinéma asiatique et de l'art médiatique. Nous avons invité plus de 35 films, expositions de réalité virtuelle et œuvres d'arts numériques qui mettent l'accent sur la spécificité culturelle asiatique, grâce à nos collaborations avec plus de 70 artistes et de nombreux partenaires. "
Le programme de clôture le 7 juin au Cinéma Moderne présentera le film acclamé du réalisateur Hong Sangsoo, A Traveler's Needs (2024) avec Isabelle Huppert, aux côtés du film de la cinéaste canado-coréenne Helen Lee, Paris to Pyongyang (2024), un captivant essai-documentaire juxtaposant les récits parallèles des intellectuels parisiens des années 1950 et les souvenirs de la grand-mère de la cinéaste sur la Corée.
" Le FFCC est une célébration du cinéma coréen et de la diversité des voix canado-asiatiques... une programmation audacieuse et inspirante, nous transportant dans des histoires captivantes et des perspectives nouvelles. " Jean-François Lamarche (Directeur de la programmation, Cinéma du Musée)
www.fr.artseastwest.ca/kffc/2025-kffc
Le Festival du film coréen du Canada est une excellente occasion de soutenir les arts médiatiques.
Participez à des projections de films, des tables rondes et des conférences sur l'art.
Le festival se déroule dans différents lieux jusqu'au 28 juin.
Le Festival du film coréen du Canada (KFFC) vise à soutenir les arts médiatiques du Canada asiatique par la création d'initiatives thématiques dirigées par des artistes et destinées à favoriser la diversité culturelle au Canada ; à explorer l'identité canadienne coréenne et pan-asiatique à travers les arts et les médias dans une optique interculturelle et intergénérationnelle ; à soutenir les artistes émergents du Canada asiatique en mettant en valeur les voix marginalisées, et à tirer parti de la technologie et des possibilités de discours culturel et artistique, en ligne et en personne, à la fois au niveau national et au niveau mondial.